
Mon parcours
Comme chacun de nous, j’ai traversé des épreuves. Était-ce un fardeau ou un cadeau ? Avec le temps, j’ai compris que ces expériences m’ont guidée vers un chemin d’ouverture et de guérison.
J’ai eu la chance d’avoir des grands-parents maternels très aimants et dotés d’une ouverture d’esprit rare.
Mon grand-père, radiesthésiste, m’a transmis la spiritualité de la matière.
Ma grand-mère, malgré les épreuves, a incarné la résilience et la force.
À 20 ans, j’ai pris conscience des répétitions transgénérationnelles présentes dans ma famille, sans savoir comment les aborder.
Ce fut le début d’un long chemin de guérison, où le pardon a trouvé toute sa place.
Le pardon est profondément libérateur : pour soi, pour vivre en paix avec les autres, dépasser le rôle de « victime » et s’offrir la possibilité de créer une nouvelle vie, au-delà de la douleur.
J’ai alors observé que les années se succèdent mais ne se ressemblent pas, que les énergies changent. Mais d’où cela pouvait-il bien venir ?
C’est à ce moment-là que je me suis tournée vers la numérologie. Les écrits de François Notter m’ont énormément inspirée.
En parallèle, je me suis initiée au Reiki Usui, passant progressivement les différents degrés sous la guidance de Régis Szymanski.
Ce travail énergétique m’a aidée à approfondir mon apprentissage, notamment dans l’approche transgénérationnelle : travailler sur le mental, puis sur l’émotionnel – cette partie que l’on ignore souvent.
Grâce aux enseignements de Sylvie BERGERON j’ai mis des mots sur les maux, ceux dont on ne veut pas entendre parler, ceux qui dérangent et pourtant ! Nous naissons comme un disque dur qui sera formaté par nos parents, notre éducation, notre famille, la société dans laquelle nous vivons, le pays dans lequel nous grandissons ou bien celui que l’on quitte pour vivre ailleurs.
Peu à peu, j’ai compris que nous vivons souvent selon une loyauté invisible envers notre famille, une loyauté qui, dans 80 % des cas, ne nous correspond pas.
Cet héritage transgénérationnel commence parfois avec notre prénom, donné pour honorer un ancêtre, se poursuit dans les professions répétées « de père en fils », ou dans les maladies et accidents qui se rejouent de génération en génération.
C’est ce que la numérologie révèle aussi dans l’étude d’un thème.
Un exemple : un nom de famille avec une valeur 4 reflète une vibration de « travail » très forte. On retrouve alors dans la lignée cette idée d’effort acharné, parfois jusqu’à l’épuisement.
Prendre conscience que le travail ne doit pas être synonyme de souffrance ou de burn-out peut être profondément libérateur.
Avec l’approche humaniste de la numérologie enseignée par Maryline Ganizate et son lien avec le Tarot de Marseille, j’ai découvert que mes trois outils étaient étroitement liés :
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La numérologie, qui décode la vibration de chaque nombre
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Le transgénérationnel, qui libère l’arbre familial
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Le Tarot de Marseille, qui éclaire ces enseignements
 
Maryline m’avait dit : « Si tu viens à mes cours, apprends le tarot, tu verras, tu comprendras. »
Formée par Alejandro Jodorowsky, elle nous invitait à chercher par nous-mêmes, à explorer, à ne rien recevoir « sur un plateau ».
C’est ainsi que j’ai rencontré Emmanuelle Iger à Paris, suivi ses cours, lu ses livres.
Puis, ma rencontre avec Moreno Fazari a donné une nouvelle dimension à mon apprentissage, autant en numérologie, qu’en psychogénéalogie et bien sûr, dans le Tarot de Marseille.
Je terminerai sur ce que Jean D'Ormesson a dit de la vie : "Merci pour les roses et merci pour les épines. La vie n'est pas une fête perpétuelle, c'est une vallée de larmes. Mais c'est aussi une vallée de roses. Si vous parlez des larmes, il ne faut pas oublier les roses et si vous parlez des roses, il ne faut pas oublier les larmes".
